Toutes mes réponses sur les forums
-
AuteurMessages
-
Bonsoir à tous
Petit retour d’expérience sur ce questionnement :
Dans le contexte de ce projet, le Bureau de Contrôle a demandé que le plancher « zone de refuge » soit vérifié pour la charge d’exploitation des locaux directement attenants, soit 250 daN/m², cat B.
De toute évidence, sa principale crainte était que cette « zone de refuge » soit devoyée de sa destination initiale, et soit tôt ou tard employée comme bureaux…
Cordialement
Bonjour M Andrieux
Merci pour votre retour documenté et votre avis sur cette question.
Considérer une catégorie C5 pour un local principal classé D1 (soit quasiment le même chargement au final) me semble excessif puisqu’en temps normal ce sera juste une zone totalement vide. Même si on considère 1 exercice d’évacuation par mois qui durerait 24 heures (je n’y crois pas…), on arrive à une fréquence d’occupation très très limitée.
Je pense donc pour ma part que, même si des exercices d’évacuation sont organisés régulièrement, on sera loin en terme de probabilité du niveau de chargement lié à l’usage du local principal.
De surcroit, il semble que la règlementation en la matière impose de prévoir 1m² par personne : Au ratio, on est très loin de 500 daN/m².
Et encore cela supposerait que le magasin soit à son effectif maxi personnel + clients au moment de l’inondation.Ce n’est aussi que mon point vue, du moins l’avancement de ma réflexion sur le sujet.
A priori, je pense m’orienter vers 250 daN/m2 cat B, en considérant la charge en cas normal (pas accidentel), ce qui me semble déja conservateur en terme d’hypothèse et plus réaliste en terme de coef psi 0,1 et 2Je suis aussi en train de faire le point avec le bureau de contrôle de cette opération. Il aura certainement encore un autre point de vue, et peut être des arguments règlementaires plus précis que ce que nous avons pu trouver pour le moment.
Je ferais un retour ici à l’issue de nos échanges, ça pourra servir à la communauté.
Bien cordialement
-
AuteurMessages